Le vrai du faux

FAUX

  • La convention signée entre le CSC et la CCLD pour la période 2020-2023 stipule que le périmètre d’intervention du CSC reste les communes de l’es-CCLD et que les interventions sur les communes du côté Sèvre ne peuvent se faire que dans les cadre des réseaux existants.
  • L’expérience et les échanges nous ont montré que l’intervention du CSC n’était ni souhaitée, ni souhaitable par les municipalités du côté Sèvre au contraire de certaines associations.
  • L’association a fait différentes propositions d’intervention à l’échelle des 11 communes conformément aux « nouveaux » souhaits de la CCSL

VRAI / FAUX

  • Si le CSC porte une attention particulière aux personnes en situation de fragilité, il s’adresse à tous les habitants.

Vrai / Faux

  • Si la dimension culturelle du CSC est historique, elle reste un moyen d’investir les habitants dans les projets qui leur tiennent à cœur et de favoriser la mixité sociale
  • En dehors des activités de loisirs le CSC propose de nombreuses actions :
    • Famille/parentalité (LAEP, Projet vacances, ludothèque, fête du jeu, aides aux devoirs…)
    • Jeunesse (baby-sitting, soutien projet jeunes, point d’information jeunesse…)
    • Socioculturel/Seniors (sorties, activités de loisirs, découvertes, art au jardin…)
    • Soutien aux associations (prêt de matériel, de salle, espace ressources…)

Vrai

  • Sur 4870 participations annuelles :
    • 20 % St Julien de Concelles
    • 30 % Loroux-Bottereau
    • 9 % Landreau
    • 14 %  Divatte-sur-Loire
    • 1 % Remaudière
    • 15 % communes côté Sèvre
    • 10 % autres communes

VRAI / FAUX

  • La CCSL reste un financeur essentiel du CSC (42%)
  • Les autres financeurs représentent 58 % (CAF, Conseil Départemental, Conférence des financeurs, Jeunesse et Sports, participation des familles, CARSAT…)
  • Lorsque la CCSL investi 1 € dans le CSC, le CSC va chercher 1.4 € au travers d’autres financeurs

FAUX

  • Les autres financeurs se désengageront si la collectivité (CCSL) ne participe pas

FAUX

  • La vitalité associative, c’est également les 70 bénévoles qui donnent 7000 h de leur temps par an, l’équivalent de 4 équivalents temps plein
  • Le nombre d’administrateurs est réduit suite aux nombreux départs en 2018-2019 d’administrateurs épuisés notamment par les promesses non tenues en matière de locaux

FAUX

  • Deux départs ces derniers mois sans lien avec la situation :
    • Un départ en retraite
    • Un départ d’un temps partiel vers un temps plein

VRAI

  • En moyenne sur les 5 dernière années, 8 000 € d’excédent annuel (1% du budget annuel) donc maitrise du budget
  • Création de 4 CDI en 4 ans sans solliciter la CCSL pour des subventions supplémentaires

VRAI

  • Les 70 bénévoles du CSC représentent l’équivalent de 4 équivalents temps plein

FAUX

  • Le CSC est une association loi 1901 administrée par des bénévoles
  • Le CSC n’est ni un service communal ou intercommunal, il reste autonome dans le choix de ses projets portés par des habitants en tenant compte des attendus de l’ensemble de ses partenaires.

FAUX

  • Le maire du Loroux-Bottereau a fait le choix de ne pas signer pour signifier son désaccord

FAUX

Ces propos ont été tenus par une adjoint de Saint-Julien de Concelles à l’adresse de bénévoles qui tractaient près du marché de Noël.

C’est totalement faux. A aucun moment de telles propositions ont été faites, ni au directeur, ni à aucun membre du centre socioculturel.

FAUX

Les activités hebdomadaires de loisirs concernent environ 400 personnes sur les 4 000 concernées par an par l’action du CSC

FAUX

Le CSC dans le projet de feuille de route présentée à la CCSL avait envisagé l’arrêt de sa gestion des AHL pour répondre à l’attente des élus et avait émis des hypothèses de reprise de ce type d’action par d’autres.

VRAI

Dans le cadre de la demande de la CCSL de modifier le projet de l’association, c’est une hypothèse parmi d’autres qui a été soumise au vote des bénévoles qui ont voté contre.

FAUX

Un projet de feuille de route a été soumis à la CCSL. De l’avis de sa Présidente ce projet correspondait pleinement aux attentes des élus, mais ces derniers ne renouvelleraient pas la convention après 2023.

Quant aux financements complémentaires, il ne s’agissait en aucun cas de financement CCSL, mais des financement que le centre va « chercher » chaque année (58% issus de la CAF, l’Etat, le Conseil Départemental, la Conférence des Financeurs, la participation des usagers…).

La fin du CSC représentera donc une perte de financement pour l’animation de la vie sociale du territoire d’environ 295 800 €

Vous ne trouvez pas la réponse à votre question ? N’hésitez pas à nous la poser en écrivant à :

culture@csc-loiredivatte.asso.fr

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